Collagraphie, 270 x 60 cm, 2015
Le bitume parisien, des pigeons à l’air trop humain, des passants, une envolée...
Quoi de plus innocent qu’une marelle, pour exprimer flâneries et rêveries, quand il ne suffit que de quelques bonds pour atteindre le ciel.
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Laura Loriers